Les éditeurs, jamais à court d’idée pour sucer la veine qui rapporte, ont trouvé un filon idéal dans ce qu’on appelle la Bitlit, c’est à dire “la littérature qui mord” (bite en anglais), et que je ne me gêne pas pour appeler de la Bit-chicklit (littérature qui mord pour les jeunes filles). Continue reading Annonce de la sortie de Dracula the Un-dead