Bon, ok, la poésie, tout le monde s’en fout…
Y’a bien deux trois romantiques qui préfèrent lire du Rimbaud plutôt que d’écouter du Marylin Manson (je ne parle pas de ceux qui font semblant pour pouvoir se taper leur copine goth). Mais des vrais amateurs de poésie, y’en a pas des masses. Et leur nombre fond comme neige au soleil.
Pourtant, la poésie c’est un peu comme un rayon de lune sur une pierre tombale fraîchement retournée. C’est inattendu, frais, magique et plein de messages que chacun interprétera à sa manière.
Alors juste pour voir, lisez donc certains de ces poèmes, lisez les vraiment. Ecoutez les. Imprégnez vous en. Et peut-être qu’un jour béni, vous aussi vous serez sensible à la poésie…
- 1748 – Heinrich August Ossenfelder : “Der Vampir”
- 1773 – Gottfied August Bürger : “Lenore” traduit de l’allemand par Gérard de NERVAL.
- 1797 – Johann Wolfgang von Goethe : “Die Braut von Korinth” (La fiancée de Corinthe)
- 1798 – Samuel Taylor Coleridge : “Cristabel”
- 1800 – Robert Southey : “Thalaba the Destroyer”
- 1810 – John Stagg : “The Vampyre”
- 1813 – Lord Byron : “The Giaour”
- 1820 – John Keats : “La Belle Dame Sans Merci”
- 1819 – John Keats : “Lamia”
- 1833 – Henry Liddell : “The Vampire Bride”
- 1845 – James Clerk Maxwell : “The Vampyre”
- 1855 – Charles Baudelaire : “Le vampire”, “Les métamorphoses du vampire”, “Le revenant”, “La Fontaine de Sang”
- 1864 – Théodore de Banville : “Polichinelle vampire”
- 1897 – Rudyard Kipling : “The vampire”
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