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Comedy

Je profite d’un lien de téléchargement actif pour parler de ce court-métrage (parce que c’est bien de savoir, c’est encore mieux de voir).

Comedy raconte l’histoire d’une petite fille en Irlande (aucune indication sur l’époque). Alors qu’une armée anglaise va ravager le pays, la petite fille se rappelle d’une légende :
“À environ quatre jours de cheval de mon village se trouve une forêt noire. Un autre jour de marche à travers la forêt noire vous conduira aux ruines de ce que l’on appelle le “Château des Démons”.
Depuis quelques temps une rumeur disant qu’un chevalier s’était installé là-bas circulait dans le village. On racontait qu’il avait un air singulier, les cheveux noirs et la peau blanche et qu’il maniait son épée telle une plume tourbillonnant avec le vent […] il n’acceptait pas d’argent pour ses services, mais uniquement de vieux livres”
Le court-métrage raconte en 10 minutes la relation de la petite fille avec cet étrange chevalier… et surtout le secret du chevalier noir.

Si la légende est très belle, on est surtout marqué par les graphismes.
Un style burtonien, des images très légères, un travail proche de l’aquarelle qui donne de la poésie aux mouvements.

La musique enfin est particulièrement bien accordée aux scènes, et rajoute au dramatique ou à la fantaisie.

Pour ceux qui ont aimé cet anime, je ne peux que conseiller les excellents “Vampire Hunter D” et les mangas de Kaori Yuki “comte Caïn” (spécialement le 3ème tome “Kafka” puisque c’est une histoire de vampire (rien à voir avec les cafards).

Castlevania

A noter que c’est le jeu parfait pour constater l’évolution des consoles. En effet les jeux étant très similaire on constate les avancées graphiques et de gameplay facilement.

Presque toujours le même principe, on incarne un personnage de la famille Belmont, armé du célèbre fouet le “vampire killer“. Et on parcours un manoir jusqu’a la tour de Dracula (qui n’est pas toujours le boss de fin d’ailleurs).

L’histoire de la série est divisée en plusieurs périodes :

Première période : Le jeu de plate-forme

Des le premier jeu Castlevania se pose comme un des maîtres du jeu de plate-forme. Mais attention, rien a voir avec le petit plombier. Ici on aime la difficulté, (a quelques exceptions près), certains épisodes sont même réputés infinissables, et pour causes certains de jeux étaient destinés au bornes d’arcades (tant qu’on perd on paye contrairement au loto…ou on gagne pas tout court).

Si les graphismes de la Nes ne permettent pas une grande variété de couleurs on a quand même là un jeu de très bonne facture. Dur même si assez court (on peu le finir en une trentaine de minutes si l’on connaît… le record est même de 13 minutes voir : [Record->http://speeddemosarchive.com/Castlevania.html] ).

Presque tout les Castlevania (a de très rares exceptions près), sont construits de la même façon, avec les mêmes boss, les mêmes niveaux. Et les fans s’y retrouvent donc; si ils pestent toujours contre les maudites chauves souris qui vous font tombé dans les abîmes, c’est juste parce que se sont de grands râleurs.

Un hall remplit de fantômes, une chauve souris qui garde la porte d’un pont qui s’écroule, on se retrouve a attendre chaque séquence comme celle de notre film préféré. Quand est ce qu’on va traverser la tour des horloges et combattre Frankenstein ? Est ce que la mort est toujours le lieutenant de Dracula ? très peu de surprises et pourtant l’intérêt demeure.

A noter que certains épisodes ont aussi une partie rpg (évolution du personnage, équipements) simple et efficace.

Deuxième période : l’avènement de la 3D

Si la série devient grâce à son épisode Symphony of the Night (sur playstation en 1997) une des grandes références en matière de 2D, elle essuie un cuisant echec avec la 3D sur Nintendo 64. Les fans se sentent trahis et la sortie d’un 2eme épisodes n’apportant rien les enrage encore plus.

Personnellement j’ai longtemps juré que Castlevania devait rester en 2D, jusqu’a la nouvelle génération de jeu sur Playstation 2, qui s’ils ne sont pas excellent sont tout a fait respectable.

C’est donc en 1998 que la série prend un tournant, ou plutôt deux. Une partie des jeux resteront alors fidèle a l’esprit des jeux de bases et on a ainsi beaucoup d’épisodes sorti sur Gameboy, DS, etc très bien réalisés. Tandis que les autres sombrent dans le Devil May Cry sauce rpg assez mal goupillé.

The Munsters

munstersSitcom américaine racontant la vie d’une famille de monstres de cinéma qui ne se trouvent pas différents de leurs voisins.

Themunsters

munsters2

La famille idéale

Cette série (à laquelle je préfère la nettement plus étrange Famille Addams), vaut par la présence de la délicieuse Lily Munster (Yvonne De Carlo), une superbe beauté brune coiffée comme la Fiancée de Frankenstein, et dont le nom de jeune fille est Dracula.

Mais on y croise aussi le fameux Grandpa Munster (alias Sam Dracula), un comte vampirique très distingué.

En bref, on rigole bien dans cette série familiale. Idéale pour vos enfants.

La regrettée Yvonne de Carlo
La regrettée Yvonne de Carlo

Hammer Film Festival

“L’association Les Films Du Spectre vous propose le Hammer Film Festival. Cest une rétrospective des films anglais des années 60 produits par les studios Hammer. Vous retrouverez les grands thèmes du cinéma qui ont bercés le 20e siècle comme les films Dracula ou Frankenstein. Jimmy Sangster, scénariste et réalisateur sera présent pour cet évènement. Il y aura aussi des ateliers d’effets spéciaux et de maquillage.”

Le projet

Festival de cinéma : rétrospective de films fantastiques anglais issus des studios Hammer. En parallèle, exposition d’affiches, conférence d’un spécialiste des décors de cinéma, projection-débat à l’Université Marc Bloch, rencontre avec un scénariste Hammer, etc..